
Gérard Blain Cause Décès – Le 23 octobre 1930, Gérard Blain entre dans le monde. Son amour du cinéma a commencé à se développer quand il était un jeune enfant. Et il a abandonné ses activités académiques pour perfectionner ses compétences.
Le petit garçon, tous de douze ans, prend un sacré coup. L’abandon de son père l’oblige à apprendre l’indépendance dès son plus jeune âge. Gérard Blain fait irruption dans l’industrie du cinéma en tant que comédien. Avant de faire le passage à la scène en 1944, il apparaît dans le film “Les enfants du paradis” de Marcel Carné.
Sa carrière décolle après la sortie de “Voici le temps des assassins” de Julien Duvivier en 1955. Puis “Les Mistons” de François Tuffaut ne fait que le faire siffler plus fort en tête. Le premier long métrage du réalisateur est “Les Mistons”. A l’intérieur, Gérard Blain est représenté avec Bernadette Lafont, sa seconde épouse après Micheline Estellat. Ils jouent un groupe d’adolescents qui écoutent deux jeunes amants alors qu’ils se disputent dans les champs.
L’acteur a le vent en poupe sur les tournages depuis “Les Mistons”. Claude Chabrol deviendra une icône de la nouvelle vague après le succès de ses deux premiers films, “Les cousins” et “Le Beau Serge”. Dans les années 1960, grâce en grande partie au rôle qu’il tient dans “Hatari” d’Howard Hawks, sa carrière prend son envol à l’échelle mondiale. Après son passage à Hollywood, il retourne en Europe avant de s’installer en Italie pour la majeure partie de sa carrière.
Le Bossu de Rome (1961) de Carlo Lizzani et L’Ami Américain (1977) de Wim Wenders sont deux des films dans lesquels il est apparu. Dans les dernières années des années 1960, l’humoriste est à la recherche d’expériences inédites. C’est pourquoi, après une carrière d’acteur couronnée de succès, il souhaite continuer dans la direction du cinéma.
Son premier film, “Les Amis”, est sorti en 1970. Il est basé sur une amitié entre un jeune homme à faible revenu et un homme plus âgé et à revenu plus élevé. Le réalisateur a remporté le Léopard d’Or au Festival de Locarno pour son premier long métrage. La filmographie de Gérard Blain comprend “Les Amis”, “Un enfant dans la foule”, “Pierre et Djemila” et “Le Rebelle”, entre autres.
L’intrigue de “Pierre et Djemila”, qui raconte l’histoire d’amour d’un jeune arabe et d’un français, fait alors sensation dans la presse. Gérard Blain est décédé le 17 décembre 2000, après une carrière hors du commun. L’acteur a eu du fil à retordre ces dernières années. L’homme souffrait d’un cancer en plus de ses dettes. Sa mort a été annoncée dans le film “Ainsi soit-il”, sorti peu de temps avant sa mort.
Gérard Blain vient de modestes débuts. Il est encore un petit enfant lorsque son père quitte la maison familiale, entraînant des interactions tendues avec sa mère et sa sœur. A 13 ans, il abandonne l’école sans avoir terminé ses études primaires, et il entame une vie nomade d’enfant des rues dans Paris occupé, où il est exposé à toutes sortes de dangers.
Il l’avouera : « Depuis mon enfance, je me vois comme légitimement défendu par la société. Cette enfance malheureuse sera un thème récurrent dans ses films, notamment l’autobiographique Un Enfant dans la foule.
Gérald Blain est décédé ce matin d’un cancer. Il avait la soixantaine, les autres le traitaient de malade depuis un certain temps, et il ne s’était probablement pas dit très souvent ces dernières années qu’il “allait crever bientôt”. Au mois de mars, la signature de son dernier film pouvait être vue dans le plan d’un périscope au fond du trou menant à la première.
Le titre du film était Donc ce sera. avec les adultes que je craignais. Je n’ai pas grandi normalement ; j’ai toujours une cicatrice d’un Blessure d’enfance qui ne s’est jamais cicatrisée.En colère, rebelle et impuissant, il a déclaré à Libération le 29 mars qu’il ne pouvait rien faire d’autre que se rebeller.
Événement hypothétique après la mort. Catafalque cinématographique ? C’est immédiatement oublier que Gérard Blain, qui ne se souciait pas tant de réfuter les stéréotypes dans lesquels l’enfermaient les critiques, refusait cette plainte, travaillait ses angoisses avec l’énergie du désespoir, jouait le contrepoint de sa maladie en achevant le réécriture d’un scénario au printemps qui restera à titre posthume, l’histoire d’un jeune garçon qui scelles en Italie les retrouvailles avec une mère comédienne. Une œuvre intitulée “Star Profession”
Star, Blain était lui-même, n’est-ce pas ? C’était un enfant orphelin de Montrouge nommé Serge qui est devenu connu sous le nom de “Beau Serge” après avoir été découvert assis sur le pas de la porte d’un café des Champs-Elysées par le duo Duvivier et Gabin, qui l’ont imposé aux producteurs du film en 1955 pour Voici le temps des assassins.
Un tel alter ego français de James Dean serait un travailleur étudiant avec une forte qualité de révolte et de colère. Sa partition est écrite à la manière d’un chat sauvage en blouson de cuir, et il élève le premier film de Chabrol au rang de manifeste inaltérable de la Nouvelle Vague en 1959.
Sa notoriété et sa popularité grandissent, accompagnées d’un certain glamour qui plaît aux ragots (sa relation avec Bernadette Laffont et leur rupture amère qui s’ensuit). Avec l’aide de l’incontournable parcours italien de tout acteur culte des années 60, Blain se rend jusqu’aux États-Unis (il joue dans Hatari ! d’Howard Hawks en 1962). (le Bossu de Rome, de Carlo Lizzani).

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